Camion-labo

 « Bon ! et bien, vas-y, montre-nous. Au point où on en est… Mais n’oublie pas : le moindre faux mouvement et ce sera le dernier. »
 Je fais signe à l’autre homme de relâcher le docteur et je demande du regard à Jane si elle veut bien le laisser entrer dans le camion.

Bon visiblement le gars était a bout il préferait clamser que en dire plus ou du moins ne pouvoir en dire plus reprenant son couteaux il le mit sous la gorge du mec et desserra son étreinte. Le tenant derrière son dos pour pas qu'il s'échappe . Puis il monta dans le véhicule ou la fumée s'était arrêter avec les deux autres.Il disait que ont pouvait avoir des information suplémentaire avec son Pc on va voir sa. je te prévient ta pas interer a nous faire d'entourloupe

 « Va moins vite ou on te coupe deux doigts pour te faire ralentir. Je veux pouvoir suivre ce que tu fais ! »
 Ce con essaie de nous avoir !
 Pour donner plus de poids à mes paroles, je sors mon scalpel.
 « La tenue kaki que je porte, je l’ai pas trouvée accrochée à une patère, hein ! »

Drick regardait l'homme en blouse blanche tapotait sur le clavier , des message s'afficher ,d'autre se retirait totu sa dans un tapotement presque musical. Drick se demandait si lui aussi pouvait maîtriser cette manipulation de langage informatique mais vue la vitesse avec laquel le mec allait celas ne semblait pas évident.

Il allait lui demandait d'aller moins vite mais l'autre homme soupçonneux en parla avant.Puis un peux plus curieux il demanda a l'homme:

Pour rentrer dans le programme tu a du insérer t'ai identifiant non ? donne les nous! Et explique moi bien ce que tu fait car il peut y avoir bien pire que la mort!

 Je retire sans délicatesse la lame du scalpel et je l’essuie sur la blouse du doc.
 « Va te soigner, très bien. Mais t’avise plus à nous jouer des coups de pute comme ça ! Là, t’es censé chercher des informations, pas en donner : quand on cherche, on n’a pas besoin d’écrire autant que ce que tu écris ! Comme il dit, tu nous files tes identifiants, à la limite. Et on tape pour toi ce que tu nous dictes en nous expliquant clairement ce qu’on écrit. »
 Rangeant le scalpel, je le regarde d’un œil noir, l’air de lui dire qu’il n’est pas prêt de nous avoir.

Drick surveille que le blesser ne parte pas a l'improviste et que le patient se soigne correctement sans prendre tout son temp puis il demanda a l'homme :

Au fait moi de ce que je me souviens j'mappelle Drick et me suis reveillier sur la route et toi ?

 Les présentations ! Dans l’affolement, elles n’ont pas été faites ! Et je ne sais même pas si je peux faire confiance à cet homme… ce Drick, apparemment.
 « Je sais pas trop… je me suis réveillé au bord de la route, aussi. Ce qui est avant est un peu flou : je… j’étais dans un complexe souterrain, avec des docs et des kakis. J’ai pu sortir, je sais pas trop comment, puis je me suis mis à délirer et je me suis arrêté près de la route pour me reposer.
 « C’est là que j’ai rencontré Jane et qu’elle m’a conduit ici. Je ne sais même pas qui je suis, ni comment je m’appelle. Sur le badge que les docs m’ont mis, il y avait P1-M-N1. En attendant, appelle-moi Piêmni. Peut-être que le doc, là, pourra nous dire qui je suis. »
 Je tends la main à Drick, comme par réflexe. Ai-je déjà fait la connaissance de quelqu’un ? Il me semble que c’est comme ça que ça se passe…

Drick instinctivement lui rendis sa politesse en lui serrant la main, ou avait-il appris cela il n'en savait guère. Mais ce qu'il savait c'est qu'il pouvait donner un nom ou un code a l'homme qui chercher lui aussi des réponse a ces question. Puis continuant la discutions il lui dit:

oki pareil pour moi , sinon on devrait pas ce déplacer avec le camion sa serait plus pratique en gardant la l'oeil le gars car si il a informer c'est potes de notre présence il vont pas tarder a rappliquer et j'ai pas envie d'etre dans le coin quand il seront là .

 De la nourriture !
 Mon ventre se met à gargouiller et j’en oublie complètement ce qui se passe.
 « T’aurais pas un peu à manger à nous passer ? Et… euh… oui, je pense aussi qu’on en tirera pas grand chose. On va essayer un peu et on verra bien. »

Drick commençait lui aussi a avoir faim et aux information de la fille alla voir ce qu'il y avait a becter. Une fois rassasier. Il demanda: Sinon même si on a encore le gars sous les bras on devrait bouger d'ici non ? sauf si vous aez quelque chose de prévue dans le coin?

Jane offrit quelques galettes de pain azyme à ses nouveaux collègues. Elle demanda ensuite :

-Bon, quand vous aurez fini vos connerie avec le macabre en blouse, quelqu'un pourrait faire démarrer ce truc ? ça serait quand plus pratique pour se déplacer non ?

 « On en fait quoi, d’ailleurs, de lui ? Là, il a essayé de nous baiser avec l’ordinateur, donc je suis pas si chaud que ça de le laisser y retourner. Mais je me vois pas le tuer de sang-froid. On l’abandonne sur place ? »

J'aime pas trop l'idéé le abandonner sur place rajouta Drick Il connait nos nom, nos visage je suis pas trop pour le tuer maintenant mais mieux vos le garder pour l'instant. Aprés si vous voulez le finir libre a vous.

Puis terminant son repas, il alla voir ce que la blouse blanche fessait avec l'ordinateur.

 Un ancien des leurs ? Que veut-elle dire ?
 « Tu sous-entends quoi par « des leurs » ? Tu parles des docs ? Le fait que je ne sois pas disposé à tuer quelqu’un de sang-froid, contrairement à eux, ferait de moi un des leurs ? J’ai du mal à suivre, là… »

Drick surveillier l'homme a la blouse blanche pour ne pas qu'il s'échappe .Apparemment il y avait un problème au niveaux du moteur du véhicule . Voilà pourquoi on se casse pas d'ici....se dit-il queque peut rassurer par la réponse a sa question mais pour le moins inquiet de leur proche avenir ...

Puis histoire dans savoir un peut plus, il demanda a l'homme a la blouse blanche : bon explique moi pourquoi le camion bouge plus tu lui a fait quoi ?

 « Le même style ? »
 J’en reste baba, ne sachant trop quoi dire.
 J’aurais été l’un des leurs ? Et c’est qui, ces affreux et ces malfaisants ? Bon ! chaque chose à la fois ! Qu’elle s’occupe du doc : c’est pas moi qui vais l’en empêcher, de toute manière ; de mon côté, je vais voir ce que je peux faire avec ce moteur.
 Rassasié, je ressors donc du camion pour voir ce qu’il en est avec le moteur.

Drick voyant le doc mélanger des potion lui cria dessu: Touche pas a t'ai produit là ! puis voyant la fille arriver Drick se dit qu'il était l'heure. Il se poussa comme pour lui laisser le passage et sans vouloir assister a la futur boucherie il alors voir Piemni voir si il pouvait lui filer un coup de main sir le véhicule.