L'abri 144

Du haut de la salle de conférence Marius aperçoit la colonne de fumée apparu au loin dans le bush. L'aire inquiet il se tourne vers son second, le capitaine Heidrich et lui dit,

Capitaine passé l'abri 144 en alerte rouge, préparer les unités d'intervention rapide et envoyer des éclaireurs sur place pour nous ramener des information sur les étrangers qui parcours nos terres. Je veux un canal ouvert 24 heures sur 24 pour être au courant le plus vite possible. Convoquez le conseil de sécurité dans mon bureau, je veux connaître l'opinion des membres du conseil.

Il ne reste plus qu'a attendre les réactions de chaqu'un et de patientes....

Marius prépare son équipement, prend son arme puis se tourne vers son second,

Aujourd'hui nos hommes seront mis à l'épreuve nous verrons bien si leurs entraînement a suffi de faire d'eux des guerriers. Suives moi Capitaine.

Les hommes étais tous rassembler dans leurs armure rutilante, alignés impeccablement, l'esprit focalisé sur la mission à venir. Le dos droit, les mains croisées derrière lui, il passe devant les soldats et monte à borde d'un véhicule blindés. Les soldats font de même et rentre dans leur véhicule. Le Capitaine Heidrich, assis a cote de Marius ne comprends pas pourquoi ils ne vont pas a la rencontre frontal du convoi ennemis.

Je sais ce que je fais Heinrich, ne te pose pas trop de questions. Nous allons pas à leur rencontre directe, mais nous allons les devancer pour leur tendre une embuscade. Ils ont l'avantage avec leurs deux hélicoptères, mais si nous leur tendons une embuscade, nos tireurs d'élite pourrons abattre les pilote et avec l'effet de la surprise de notre côté nous ferrons qu'une bouchée de leur convoi

Avant d'arriver sur le lieu Marius envoie des éclaireurs harceler le convoi pour qu'il les poursuive et tombe dans l'embuscade préparer. Une fois arrivé sur place, Marius prit position avec ses hommes des deux cotés de la route derrière des dunes de sable. Les tireurs d'élite étaient en position, les mines étaient posées le long de la route et chaqu'un étais bien cachés et camouflés par le sable. Il attendait l'arrivé des éclaireurs impatiemment....

Marius prend là drone comme une menace pour leur opération et ordonne à deux tireurs d'élites de la descendre.

Marius réfléchissait un moment....
S'il veule ne pas venir vers nous, nous irons vers eux. D'un geste, il donna l'ordre d’envoyés de nouveau des éclaireurs. Les éclaireurs ont pour mission de retrouver les Kakis et nos propres soldats perdus.

Ranger tout on va à la rencontre de l'ennemi, préparer vous à un affrontement brutal et rester vigilent. Capitaine des nouvelles de nos éclaireurs ?

- Soit je vais à leurs rencontre pour écouter se qu'ils ont à proposer. Lieutenant Rike vous et votre commando m’escorter jusqu'au lieu du rendez-vous. Capitaine, je veux que vous positionner quatre tireurs d’élite à distance pour nous assister au cas où ça dérape. Rester dans le coins près a intervenir a tout moment.

Les ordres transmis à chaqu'un et préparer à tout les éventualité Marius, escorter par un commando se diriger vers le lieu du rendez-vous.

Soit-il, ainsi, se retourne vers le lieutenant du commando, gardes mes armes pour moi *chuchote* rester vigilent, on ne peut pas leur faire confiance. Je suis près, vous pouvez me fouilles si vous le souhaitez, mais je pense que cela ne sera pas nécessaire.


Marius entre dans la tente militaire, reste debout et fixe son égal doit dans les yeux

Qui êtes vous et de quoi voulez vous parlez ??

Non merci, je n'ai point soifs....
Vous savez surement qui je suis, donc je vous en pris passons au vive du sujet. Que veut Rima de moi ?

L'homme se servi un verre d'eau avec une lenteur exaspérante. Puis revenant à son interlocuteur il expliqua d'une voix un peu faiblarde et trainante :  

-Nous ne sommes pas des "kakis de rima", ce terme est pejoratif, je vous prierai de ne plus l'employer. Nous sommes l'armée reguliere du monde normal. Et nous faisons respecter la loi, y comprit à Rima.  

Nous avons pris connaisance de votre ville, aussi nous aimerions vous proposer de la proteger contre une petite taxe, rien de méchants juste de quoi couvrir les frais. Nous pourrions alors passer des accords commerciaux for avantageux en ce qui vous concerne, qu'en dites vous  ?

Vous proposer de nous protéger, je vous dis qu'on a les mêmes ressources à notre disposition pour nous protéger. Nous ne voulons point dépendre de Rima, mais nous voulons normaliser les relations entre nos deux cités. Je vous propose la chose suivant ;
Premièrement : la reconnaissance mutuelle de nos deux cité et de leur indépendance vis-à-vis de l'autre.
Deuxièmement : le Respect des zones d'influence des deux cités définis par l'axe nord-Sud (les territoires au Nord de l'abri appartiennent à l'abri et vice-versa)
Nous ne voulons point dépendre de Rima, mais nous voulons normaliser les relations entre nos deux cités. l'établissement d'un accord commercial incluent la libre circulation des marchandises et ''capitaux''.
Quatrièmement : l'établissement d'ambassade mutuelle.
Alors qu'en penser vous messieurs Nicolas ?

le regard de Marius se durcit

Dans un monde où c'est la loi du plus fort qui règne nous ne voulons pas dépendre de forces extérieures qui sont pas sous notre juridiction. Je pense que vous êtes mal placé pour prendre Rima comme exemple idéal de votre bien fait. Réfléchissez à ma proposition c'est la meilleure que vous aure.

Au niveau du commerçant je vous propose notre technologie solaire contre des armes moderne de Rima.
Alors qu'en pensez-vous

Si c'est comme ça on a plus rien à se dire.

Sur ces mots Marius regarde une dernière fois le négociateur puis se tourne vers la sortie.Il ne regrette rien à part le fait d'avoir perdu son temps. Ainsi Marius sort de la tente.

il était beaucoup trop tard pour que ces hommes puissent le sauver. Même si ça ne lui plaisait pas, il n'avait pas le choix. Il devait suivre ses hommes armés et dangereux qui n'hésiteront pas le tuer à la moindre résistance.

Soit-il ainsi je vous suis sans aucune résistance.....

Mais laissez-moi vous poser une dernière question suis-je votre invité où votre prisonnier ?

Ces derniers mots prononcés par Marius faisait faire sentir la pression qui était dans l'air.