Camion-labo

 Hum… c’est pas parce que ce mec s’en prend à une blouse blanche qu’il est clean.
 En restant à distance respectueuse, je m’approche quand même assez pour être entendu. Jane vient aussi.
 « T’es qui, mec ? Et lui, il fait quoi ? »
 Je désigne du doigt le docteur.

L'homme avait bu un peu d'eau , et sa avait l'aire de le soulagée hydratant sa gorge des vapeur qu'il avait du inhaler. Drick pensait qu'il allait pouvoir commençait son interrogatoire mais visiblement deux autre personne venait d'arriver...Et la fille ne semblait pas commode avec son long sabre...Quand a l'homme qui accompagner la fille, il s'approcha celas fit réagir Drick  

Je sais pas ? Vous été qui vous ? C'est votre ami ? Vous approchez pas ! Je Veut juste comprendre ce qui se passe ! Dit-il d'une voix effrayer.On pouvait distinguer que l'homme n'avait plus tout sa tête, ou du moins qu'une partie a moins que cela ne soit son gros bandage sur sa tête qui l'ai un peut déboussoler...Mince il sont deux et moi tout seul je risque pas de m'en sortir... Les observants longuement il ajouta :

J'ai sortie votre pote du camion, un peu plus et il clamser, je vous veux pas de mal, justes des réponses... dit-il en retirant le couteaux de sous la gorges du mec qu'il tenait, mais la gardant bien en évidence en cas d'acte suspect des deux autres.

 « C’est certainement pas mon pote, non. Et je crois pas que ce soit le sien non plus. »
 Je désigne alors Jane du menton.
 « Pourquoi tu sauves des blouses blanches ? T’es avec eux, c’est ça ? »

Visiblement, la nana n’aimer pas le gars qui était mal en point , Drick lui retorqua:

Il est agonissant et je l'ai bloquer, il peut nous donner des informations, si tu veut le planter fait le après. Je sais pas ce qu'il ont fait, mais je veut des réponses et celui là va m'en donner,Aprés, vous pouvez déjas commencer à m'expliquer ce qui se passe ici? regardant l'homme et la fille il ne devait pas etre amie vue comment l'homme porter des soupons sur la fille

 Laisser un doc crever dans un camping-car en flammes, c’était une chose. L’étouffer sous un oreiller alors qu’il se ramène avec une seringue pleine d’on ne sait quoi… c’est une chose aussi. Mais le tuer de sang-froid dans cette situation, c’était une troisième et tout autre chose !
 « Attends, Jane ! Je les aime pas non plus, ces salauds. Je sais pas ce qu’y t’ont fait, mais j’te souhaite pas que ce soit la même qu’à moi.
 « Mais de là à le tuer comme ça… je suis sûr qu’il peut nous être utile et nous apprendre des choses. Et quand on saura tout ce qu’il a à se reprocher, j’aurai moins de scrupules à le saigner. »

Visiblement, le fort pressentiment qu'avait Drick envers l'homme qu'il maintenait par terre semblait justifier.Car Si Drick l'avait garder en vie pour avoir des réponses, la fille semblait vouloir sa mort et l'autre homme lui en entendant ces paroles semblait aussi trouvait dans qu'elle merdier ils était....

On lui pose des questions et on te le laisse

 « T’en fais pas : qu’il s’amuse à faire le malin et j’serai peut-être le premier à lui faire la peau ! »
 Me penchant vers le doc, je fais signe à l’inconnu de ne pas lâcher prise.
 « T’es qui ? Qu’est-ce tu fais là ? Et moi, j’suis qui ? Vous m’avez fait quoi ? »

Drick maintenait fortement l'inconnue par terre et l’empêchant le moindre geste , il faut dire avec un clés de bras sa vous immobilise un adversaire mais le temps semblait comptait pour lui car la fille ne risquerait pas de le laisser en vie. Puis L'interrogatoire commença, l'autre homme qui accompagner la fille lui posa des question.

Mouais, et aussi c'est quoi ce pansement sur mon crâne? on et ou ? vous faite quoi de nous ?

 Je lance un coup de pied dans le ventre de la blouse blanche.
 « Mauvaise réponse. Essaye encore. »
 Frapper des gens ne me fait jamais plaisir, mais il faudrait que celui-ci arrête de se moquer de nous ! Qu’il ne travaille pas sur les projets concernant les humains, d’accord, mais il sait surement, en gros, ce qu’on nous a fait et dans quel but on l’a fait.

Voyant le gars se prendre un bon coût dans l’estomac, Dric en déduis que la blouse blanche avait tenter de leur mentir. Reserant son étreinte et le tenant solidement il lui dit :

Fait pas le malin avec nous ! Et aboule les réponse !

Mouhai... Alors tu faisait quoi a l’intérieur, pour que je te retrouve agonisant par terre ? Tu en pense quoi toi d'adressant a l'homme qui venait de mettre un coup de pied aux scientifique

On le laisse trifouiller sur l'ordi ? Puis s'adressant de nouveau aux prisonnier il lui dit

Sinon tu vas nous dire ton nom prenom, de quelle base tu viens et des recherche que tu mène

 « Je pense qu’il essaie de nous jouer un tour, là. Mais on peut toujours essayer de voir ce qu’il a à nous dire s’il regarde sur la machine. »
 Je me tourne vers Jane pour lui faire signe d’attendre avant de régler son compte au doc.
 « Je suis d’accord pour te laisser regarder des trucs sur l’ordinateur. Mais la décision m’en revient pas : c’est pas le mien. Et de toute manière, avant qu’on te laisse faire, tu vas répondre aux questions qu’on vient de poser, oui. »

 « On se fout de qui a mis le feu ! On t’a posé des questions, tu réponds : déjà, tu nous a dit qui tu étais, c’est bien. Maintenant, tu vas nous dire en quoi consiste ton boulot. »
 On tient le bon bout, il se met à parler. Mais qu’est-ce qu’il est lent… je crois que je vais pas réussir à contenir Jane assez longtemps. Je me demande même si c’est pas moi qui vais finir par me jeter sur lui pour l’étrangler.

A la réponse de l'homme que tenait fermement Drick celui-ci lui répondit: Phénomène paranormaux ? Et puis quoi encore! Sort nous quelque chose de plus crédible que ton banale mensonge. Finit-il en resserrant son emprise affin de provoquer une vive douleur aux gars qui chercher a leur mentir. Donne nous les réponse que on te demande si tu veut pas soufrir!

 Les phénomènes paranormaux ? Après tout ce que j’ai vu… je suis bien disposé à le croire.
 « Disons que je te crois, moi. Et disons que je veuille bien que tu ailles sur l’ordinateur, qu’est-ce que tu pourras trouver ? Parce que c’est bien gentil de nous faire des promesses, mais si c’est pour nous baiser et appeler tes potes à la rescousse… »