Le doux réveil du Docteur Brown

Gnnn.... Que ?!.... Aaaaaaaaaaaaaaa !

C'était bien un cri que Dr. Brown avait poussé... Tout le monde aurait fait pareil : il s'était réveille avec un homme souriant et crasseux devant son visage. Le premiere chose que le Dr. sut c'est qu'il avait envie de quelque chose. Et de vite !

Il observa donc le camp pour savoir d'où provennaiy son envie...

- Huuuuum L'odeur chatouillait les narines du Docteur. Le sentiment de dépendance, encore inconnus après le reveil, s'était amplifié ! Il se jeta sur son sac, et observa le contenu. Des dizaine de boites en plastiques. Lorsque il en chopa une, c'était cette fois plus lui qui se contrôlait et trois petites pilules verts se déversa dans sa bouche.

L'envie s'était dispersés et Dr.Brown se sentait bien ! Énormément bien ! Il se concentra ensuite sur la demande.

Que... vous avez devant vous un très grand prédateur. Ne le regarder jamais dans les yeux et abattez le.

Comment savait t'il cela ? Aucune idée, il le savait. De toute façon lorsque l'on se reveille dans une tribune on ne pose plus de question...

- Quoi ? Déjà pourquoi moi ? Et puis non !

Le Docteur reprends son livre d'une main ferme et lance un regard noir à celui qui lui avait proposé la capture...

- Enfin ! C'est moi qui est écrit le livre, qui est observés l'animal son évolution ! C'est une machine à tuer ! Il évite les coups, tue en deux coups de bec ! Trouvés un coquillage, mettez un peu de votre cordon de ceinture et vous lui offrez un coquillage.

C'était sans lui, il était doués pour la stratégie, la réflexion, pas pour le combat contre les énormes oiseaux... Enfin...

- Et puis si j'accepte, qu'es ce que j'y gagnerais ?

- Mais vous allez vous faire oui ? Vous savez qui je suis ? Vous savez ce que j'ai fait ? Non ? Et bah moi non plus, mais sa devait pas être très sympathique aux vues des souvenirs qu'il me reste ! En tout cas non ! La menthe ce n'est pas fait pour moi ! A la limite... J'accepte votre offre contre une marchandise spéciale... Je vous tue cette autruche contre... Des femmes ! Qu'en dites vous ?

Le Docteur Brown se ravisa en voyant le doux Bush devant lui, il n'était pas fou ! Il avait des connaissances, oui, et il savait que partir seul serait son pire choix a faire pour survivre. Mais il savait aussi qu'il pourrait contrôler ses pulsions.

Pris d'une légère panique il se retourna vers les réels et lança :

- Bon... Très bien je vous aide a trouver l'autruche. Mais après vous aurez un service a me rendre ! Oeuil pour oueil, dent pour dent !

Donnez moi toutes vos connaissances, et alors avec plaisir je vous aiderais. Je me sens, en quelque sorte, envoutés par la science, et la science du passé, est celle qui m'apportera le plus de choses possibles à propos de ce monde. Le Dr. Brown n'avait aucune mauvaise idée derrière la tête, il savait que après avoir eu un trou de mémoire, connaître le monde qui l'entoure était primordial.

- Mmmmmmh je vois, vous pensez donc que les humains sont seuls responsable de ce qui leur ait arrivé, et que le monde est devenu comme ça à cause de leur cupidité... C'est une thèse intéressante.

Tandis qu'il se faisait bien voir parmi les réels, il ne pensait pas moins que ces nomades ne pouvait qu'être que de la même trempe, car il se considérait plus intelligent que les plus grands scientifiques du monde. Alalala Dr. Brown aurait surement rêvé d'avoir vécu au 21ème siècle.

Lorsque la question de l'autruche se posa, il annonça alors aux Réels :

- Mes amis, où est donc la dernière fois que vous avez vu l'Autruche ? Nous devons mettre en place un piège ainsi qu'un plan pour cet animal.

Le Docteur avait entendu trop souvent cette voix, depuis qu'il s'était réveillé. Il n'y avait qu'un seul moyen de la faire arrêter : manger un chewing gum à la menthe. Mais lorsque il s'apprêta à ouvrir sa boite la voix se fit retendre :

- Non non, ne fais pas ça, ne me fais pas disparaître, tu sais très bien que seulement de bonnes choses t'arrive lorsque tu m'écouté

Envoutés, le docteur replaça sa boite dans son sac. Ensuite, il se saisissa de son scalpel, en l'examinant il ne ressentit rien et il en déduisit que la voix ne venait pas de cet objet. Il commença alors à discuter avec cette voix étrange, qui le hantait sans qu'il soit dérangés par sa présence.

- Comment tu veux faire toi, pour tuer une autruche conçue pour déchiqueter de l'humain ? En plus ces deux bouffons avaient l'air de se foutre de ma gueule depuis le début...

Dr. Brown était prêt à vagabonder dans la campagne, après tout il n'était pas rare qu'il croise des animaux morts sur la route, il s'avança dans le bush et regarda dans le ciel si il n'y avait pas quelconque trace de vautour.

Dr. Brown tapa du pied sur le sol et cria : 
- CASSEZ VOUS LES HYÈNES

Dr. Brown dégaina son scalpel, et c'est avec rage absolue qu'il cria cette phrase :

- BANDE DE SAC À VIANDE POURRIS, JE VAIS VOUS ÉTRIPER, FAIRE UNE PILE DE VOS CADAVRES, ET CE SERONT DES MEMBRES DE VOTRE ESPÈCES QUI VIENDRONT MANGER LES RESTES ! 


D'autant qu'il se souvienne, Dr. Brown n'avait jamais déferler sa haine avec autant de passion. Sa voix, presque maudite, avait un ton de meurtrier à glacer le sang. L'envie meurtrière qu'il dégagea aurait fait peur à tout les Réels précédent rencontré mais les hyènes, lorsqu'elles entendirent le cri, se mirent à émettre leur rire démoniaque. Ce rire gela les couilles du Dr. Brown, honteux comme un renard qu'une poule aurait pris, se mit à parler avec la voix dans sa tête


- Ducoup je fais quoi maintenant ?
Il répondit : - Zzzzz Zzz Zzzzz ZzzzZzzz
- Putain c'est le mauvais moment de dormir !


C'était trop tard la première hyène commençait à être relativement proche du Docteur, elle pouvait sauter à tout moment. Face à cet abruti de clebard, Brown se jeta sur lui le scalpel à la main.

Dr. Brown continua d'agiter son scalpel dans les airs avant de venir essayez de le planter dans la veine artérielle de la bête. Normalement c'était un bon endroit pour gicler.