Razzia chez les pères solaires

" J'arrive ne touchez à rien pour le moment. " Nausicaä alla voir de ses propre yeux si il s'agissait bien de ses amis.

Nausicaä eu un grand sourire en voyant les visages de ses compagnons. Elle cria aux gardiens: " Ouvrez leur la porte !! ce sont mes amis, c'est grâce à eux que l'eau est redevenu potable. " Elle allait les accueillir à bras ouverts.

 Après une longue route, nous voilà enfin à ce village. Les révélations de Jane ne m’ont franchement pas donné la super pêche, mais comme je lui fais confiance, je sais au moins à quoi m’attendre. Et elle a surement raison : sans elle, Drick et moi, on est finis.
 Sur place, je ne m’attends qu’à trouver des cadavres desséchés, mais non ! Il y a quelqu’un de bien vivant qui s’inquiète de savoir qui on est. Une fois que Jane a annoncé nos noms, Eudes me pose une question assez saugrenue à laquelle je n’ai moi-même pas la réponse… tout ce que je sais d’elle, c’est que je l’ai rencontrée dans le désert et qu’elle a une dent contre les docs.
 « Pour le moment, il vaut mieux pour vous que vous en sachiez le moins possible, Eudes. »
 Mais j’ai à peine le temps de lui dire que Nausicaä apparait. Cette sale petite traitresse qui nous a abandonnés dans la montagne !
 « Toi ! mais qu’esque tu fais là ? Je croyais que tu nous avais abandonnés pour partir à Rima ! C’est quoi, cette affaire ? C’est un piège ? les docs te payent ? »
 Si elle s’attendait à des retrouvailles joyeuses, elle en aura pour sa peine !

Nausicaä s'approcha de Piemnï et posa sa main sur son épaule en souriant: " Ne t'inquiètes pas, je ne connais pas les docs plus que toi et il n'y a pas de piège. Pas ici en tout cas. "
Puis elle regarda en direction du village et ajouta:" C'est gens avaient besoin d'aide, je suis revenu pour eux. Je n'aime pas savoir les gens dans le besoin. Je savais que vous alliez me rejoindre. "

Le ton de sa voix devint plus grave, elle s'adressa au groupe complet: " Ces villageois ont besoin de notre aide, les pères solaires abusent d'eux et les force à l'esclavage. Accepteriez vous de les aider? "
Puis elle ajouta avec enthousiasme: " Vous êtes mes amis et vous serez les biens venue dans ce village. Entrez le camion et venez vous reposer pour la nuit. Vous n'avez rien à craindre, les villageois sont avec moi. "

Drick était épuiser par cette longue conduite , mais il espérait un repos bien mériter. Il fut néanmoins surpris de voir naussica. Il écouta son recie avec attention et dit enwuite :

Encore c'est père soleil !? Il nous doivent une faveur .... On va pouvoir réglé nos compte avec eux... Mais d’abord mangeons et reposons nous je suis crever !

 Peut-être qu’on craint rien des loqueteux qui sont dans ce bidonville, mais j’arrive toujours pas à faire confiance à Nausicaä. C’est vrai, quoi : on n’abandonne pas des gens comme ça, comme elle l’a fait !
 Mais comme Drick et Jane n’ont pas l’air de s’en formaliser, je ne dis rien de plus. Pour autant, je ne relâche pas ma garde : une fois installé pour la nuit, je reste sur le qui-vive et serre contre moi la pierre magique…
 Mon précieux…
 Elle me protègera contre ce qui pourrait arriver, j’en suis sûr. Elle me dira s’il y a du bruit. D’ailleurs, je l’entends me parler.

 Au matin, il faudra décider de la marche à suivre : comment aller chez les pères solaires, quoi leur dire…

Drick en conduisant demanda a ses passager

Il ne vaudrait pas mieux essyer d'y aller seulement Pienmi jane et moi car il nous connaisse et laisser le gros de nos force en retrait histoire de laissé l'ouverture ouverte une fois que on sera infiltrer dedans ?

 « Ils ont forcément vu le camion arriver avec leur périscope. On a qu’à leur dire qu’on a récupéré des véhicules et qu’on a croisé en route des gens pour nous aider, qui sont prêts à se mettre au service des pépés. Et on rentrera avec Nausicaä et Raoul, en laissant les autres dehors.
 « Mais une fois dedans, oui, on s’arrange pour laisser ouvert la porte, voire pour l’ouvrir nous-mêmes si elle est fermé. »

 Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, Jane a déjà signalé notre présence. Et on nous ouvre ! Drick, Jane, Nausicaä, Raoul et moi, on descend, sur nos gardes.
 En bas, j’avise les premiers types qu’on voit.
 « On a trouvé, sur le chemin, des gens prêts à nous aider et à travailler pour vous aussi. »
 On va endormir leur méfiance avant d’attaquer. Et on s’en prendra plutôt en priorité aux pépés, plutôt qu’à leurs esclaves. Ils sont surement plus dangereux.

Drick suivait le plan armé il entra dans le bunker et fit mine d'aller vers le local pour rengé c'est armes comme la dernière fois. Cependant il prit son temps attendant que Jane fasse le premier pas signe de la mise en action du plan.

Les pères solaires semblaient satisfaits du discourt tenu par leurs hôtes. L'un d'eux proposa :

-Et bien mes amis je vous félicite ! Allons gouter cette eau à présent afin de vérifier vos dire. Non que je doute de votre parole bien sûr, mais nous avons besoin de tests.

Un des adolescent fut sommer d'aller chercher de l'eau "au puits" et dix verres furent servis sur la table centrale. Le chef des pères dit simplement :

-A la votre !

Il avait pris un verre, mais attendait d'un œil inquisiteur que nos aventuriers prennent la première gorgée.

 Apparemment, ils ne voulaient pas particulièrement qu’on abandonne nos armes, ce coup-ci. Tant mieux, ce sera d’autant plus facile ! Et quelle confiance… c’en est glaçant ! Comme s’ils savaient ce qu’on allait faire et s’étaient préparés en conséquence.
 « Santé ! »
 Je lève mon verre et attend un instant que nos hôtes boivent.
 « Vous avez pas confiance ? Remarquez, c’est nous qu’on pourrait avoir pas confiance : on sait pas à quelle vitesse est renouvelée l’eau, dans vos réserves. Et vous éliminez bien tous les germes en la filtrant ?
 « Bah ! au pire, je m’en tire avec une chiasse, c’est tout ! »
 Je bois mon verre d’une traite.
 « Ça manque d’un petit quelque chose à grignoter, vous trouvez pas ? On n’aurait pas des pruneaux, dites ? »
 Je dis cette dernière question en me tournant vers mes camardes et en me concentrant fortement sur une pensée : À trois, on y va ?

L'ambiance est pesante. Je reste en retrait mais je me tiens prête. Je compte le nombre de pères solaires qui se trouvent dans la pièce: Combien sont ils?

 Vite fait, bien fait. Il n’y a pas d’autre moyen de qualifier ce qu’on vient de faire. Bon, c’est tout sauf propre et je ne peux m’empêcher d’avoir un petit haut-le-cœur, mais après tout… ces mecs étaient de sales ordures, quand même.
 « Il en reste ? »
 Ma question s’adresse aux jeunes qu’on a épargnés. Pour le moment, en tout cas.

Les père soleil n'était plus . Mais n'avait-il finalement pas était le jeux du plus fort qui règne ? au moins les habitant du village vivrons mieux dans ce bunker ou l'eau potable et abondante .

Drick surveilla les esclaves et dit ensuite aprés la question de pienmi

Bon, il est grand comment le complexe ? ou ce trouve la salle d'arme ? la salle de soin ?