La montagne de la mort

 Oui, j’ai une question. Mais j’aurais préféré que tu sois pas si franche avec eux, Jane, pensè-je en me mordant la langue après sa remarque.
 « Vous êtes combien, dans votre horde ? »

répliquant a la réponses de Naussica Drick ajouta: ou on pourrait utiliser les corps des deux gars de façon a ce que notre piège soit encore plus réaliste dans tout les cas si c'est un groupe de 4 qui débarque on pourra retenter notre attaque surprise si il sont plus on pourra fuir avec la jeep

Puis regardant de nouveau l'otage Drick ajouta ; il resemble a quoi votre chef , vous avez quoi comme matérielle ? vous disposer que de chevaux ? ou vous avez aussi des moyens mécaniser ? votre campement ce trouve ou ?

 « Tut, tut ! jeune homme ! Je crois que t’as pas tout compris : tu négocies pas ta survie, là. Tu négocies une mort propre et rapide. Et t’as pas répondu à toutes les questions : vous avez que des chwals pour vous déplacer ? Ou des bagnoles ? »
 Un coup d’œil à Jane, qu’elle ne le refroidisse pas tout de suite.
 Si j’étais sadique, je laisserais une arme à son pote pour qu’il le descende lui-même. Mais j’ai un peu peur qu’il s’en prenne à nous ensuite…

 Ah ! je ne l’avais pas vu venir, celle-là !
 « Putain ! conard ! Tu vas morfler, là ! Drick, Jane ! »
 sans défense, je suis à sa merci. C’est le moment ou jamais de voir si je peux leur faire confiance…

 « Le laisse pas filer, Nausicaä ! Il va avertir ses potes, sinon ! Putain, le conard, le conard, le conard ! »
 Son coup ne me fait pas forcément particulièrement mal en soi, mais le choc a rouvert ma blessure la jambe et je dois m’allonger à nouveau pour essayer d’arrêter le saignement, qui a repris.
 S’il retrouve les siens, on est foutus ! Pourvu que Nausicaä l’arrête à temps.

Drick ne compris pas trop ce qui venait de ce passer autant il vue l'otage se défaire du sabre que Jane avait un main sans rien faire et le voila qu'il commençait a fuir . hors de question qu'il parte , des ennuis encore bien plus important risquait d'arriver . Drick fusil en main coursa l'individu en lui tirant dessus

bon dépêchons nous ! Mettons les corps a coter du feux et recouvrons les par les draps pour que notre pièges a l'aire plus réaliste dit-il en ramenant le cadavre qui avait tenter de s'enfuir.

Naussica, tu surveille si les autres de leurs bande ne se pointe pas ?

Jane, si les autres on pas de question a poser aux pied brûler occupe toi en!

Piènmi, tu peux fouiller et vérifier et faire l'inventaire de ce que on prend de leurs armement et matérielle? Puis faudra mettre dans la Jeepp.

Jane acheva le type d'un coup de sabre, puis traîna le corps sous une couverture. Elle pris la veste en cuir qu'elle enfila par dessus son jogging, mais se refusa à se déguiser plus que ça. Vu l'odeur, on pouvait comprendre.

Puis l'autre corps fut mit sous l'autre couverture et chacun pu se reposer comme il pu avec des tours de gardes plus ou moins bien cadrés.

La nuit était glacée et le sol très dur, si bien que ce ne fut pas vraiment un sommeil réparateur, mais plutôt juste de quoi éviter d'être encore plus fatigué qu'auparavant.

Quand le soleil pointa ses premiers rayons ce fût comme une libération. Il faisait beau, faim et soif. Et la suite de l'enquête appartenait à nos valeureux héros. mais par où continuer ?

Jane ne ce fit point attendre et acheva le gars promptement. Drick avait installer les corps sous les draps pour rendre son piège plus vivant que nature ... La nuits fut plus calme, Drick put se reposer malgré la fraîcheur il avait connu des meilleur nuits dans l'abri.

Voyant tout le monde ce lever Drick proposa:

Bon, des info que on a obtenu la veille, il faut que on ce déplace vers le campement de ces pourritures. Le mieux serait de ce déplacer avec les chevaux, car la jeep ferait trop de bruits ou du moins que l'un ou deux d'entre nous parte en explorateurs avec la jeep éloigner pour s’avancer doucement. La jeep nous permettra de transporter plus facilement notre matérielle en laissant les chevaux plus lester et donc plus rapide dans le cas d'une retraite si il sont trop nombreux . On pourrait préparer aussi des pièges sur la route pour les attirer dedan mais tout d'abors il faut repérer leurs campement avant qu'ils ne lèvent leurs campement.

 Toujours salement mal en point, je me détourne quand Jane achève le dernier.
 Décidément, je n’arrive pas à m’y faire. Je sais bien que c’est eux ou nous, mais enfin…
 La proposition de Drick me semble bonne et je hoche la tête.
 « Dans mon état je pense pas pouvoir monter. Mais je dois peut-être pouvoir essayer de conduire. À voir qui veut partir en éclaireur. Je pense qu’on arrivant discrètement à cheval, sapés comme leurs éclaireurs, vous les mettrez en confiance et vous pourrez ensuite les surprendre.
 « Peut-être qu’on pourrait même se fabriquer une espèce de petite grenade, voire de bombinette, avec la poudre des cartouches, non ? »

 « Je sais pas pour vous, mais moi, j’irais d’abord en haut : je sens que c’est là que doit être la source. J’imagine mal qu’une piste aille jusqu’en haut, juste pour admirer le paysage ; l’autre piste doit aller au camp de ces malades. »

A présent il s'agissait de ne pas se faire démasquer, Nausicaä fit comprendre à Této qu'il devait se cacher et rester ici. Les trois gardes de la grotte se douteraient forcement de quelque chose si ils voyaient un chien en compagnie de leurs collègues. puis comme une évidence elle proposa un plan d'action: " A mon avis, on devrait s'approcher doucement de ces trois gars et leur tirer dessus dès qu'ils s' aperçoivent qu'on est pas des leurs. ça vous va? "

Je suis bien d'accord avec ce plan mais il faudrait si possible s'assurer qu'il n'y est pas des garde poster aux alentour et si on pouvait les tuer sans bruit sa serait encore mieux pas besoin de rameuter tout ceux qui ce trouve dans la grotte . Après on pourrait leur balance une grenade ou les intoxiquait avec du feux a l'entre pour tous les avoir d'un coup en espérant qu'ils n'y est pas d'autre sortit a l’extérieur.

Puis attendant les réponse de ces camarades Drick se prépara a un affrontement fort probable.

 Foutu terrain.
 Une fois bien obligé de m’arrêter complètement, je manœuvre pour pouvoir faire partir la jeep au plus vite si les trois autres reviennent. Et j’attends leur retour. Patiemment…
 J’espère qu’ils ne va rien se passer…